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Belle-maman

Posted by admin on décembre 18th, 2012 10:43 | Générale

Lorsque j’ai commencĂ© l’universitĂ©, j’ai rencontrĂ© une fille magnifique. Elle avait 19 ans, j’en avais 21. Sophie est noiraude, cheveux mi-longs, une poitrine un peu lourde, mais ferme et une bouche charnue, qui donne envie de l’embrasser. Naturellement je suis tombĂ© amoureux.
J’ai longtemps essayĂ© de la sĂ©duire. Un jour, que nous Ă©tions ensemble, Sophie me proposa de passer chez elle. Elle me prĂ©senta sa maman. A l’Ă©poque tout ce qui concernait Sophie me paraissait merveilleux, aussi ai-je trouvĂ© sa maman fantastique. Elle avait alors 45 ans, vivait seule depuis qu’elle Ă©tait divorcĂ©e, elle Ă©tait extrÄ™mement jolie, bronzĂ©e, cheveux lui tombant sur les Ă©paules. Ce jour lĹ•, elle Ă©tait vÄ™tue d’une longue robe, trÄŤs sĂ©duisante et d’un lĂ©ger dĂ©colletĂ©. Sophie nous a laissĂ© seuls pendant cinq minutes, car elle devait prendre quelque chose dans sa chambre. J’Ă©tais trÄŤs poli, nous Ă©changions des banalitĂ©s, mais je devais faire un effort extrÄ™mement puissant pour dĂ©tourner mes yeux de ses seins, volumineux qui semblaient encore fermes et qui m’excitaient.
Naturellement j’Ă©tais autant sĂ©duit par la mÄŤre, Nicole, que par Sophie. Mon attrait pour Nicole Ă©tait peut-Ä™tre plus fort que pour Sophie, car Nicole Ă©tait inaccessible et le sentiment que j’Ă©prouvais pour elle Ă©tait augmentĂ© par le fait qu’il y avait une sorte de transgression sociale.
Sophie est tombĂ©e amoureuse de moi et nous sommes sortis ensemble. Notre histoire Ă©tait banale, nous Ă©tions amoureux et tout fonctionnait dans le meilleur des mondes. En fin de semaine, nous quittions souvent l’universitĂ© pour passer le week-end chez la maman de Sophie qui avait une maison dans une petite ville. Je dormais avec Sophie. Pendant les vacances universitaires nous avons passĂ© deux mois chez la maman de Sophie. Mon attrait pour sa maman grandissait.
Nicole Ă©tait trÄŤs attirante. J’Ă©tais toujours impressionnĂ© par sa prĂ©sence et je perdais mes moyens devant elle. Je pense qu’elle jouait un jeu de sĂ©duction avec moi, elle avait besoin de sentir qu’elle pouvait encore Ä™tre attirante. Et doucement, elle se moquait un peu de moi. Mais je crois qu’elle s’est laissĂ©e prendre au jeu de la sĂ©duction. Une nuit, je me suis levĂ© pour aller aux toilettes, et j’ai rencontrĂ© belle-maman qui sortait de la salle de bains, elle ne portait qu’une chemise de nuit en soie, tenue par un lĂ©ger fil qui passait sur chacune de ses Ă©paules. La vision de ce lĂ©ger tissu sur sa peau me laissa dans un Ă©tat d’excitation incroyable.
Un matin alors que Sophie entrait dans la chambre de sa maman, j’aperçus Nicole en soutien-gorge blanc, vision qui me poursuivit durant toute la journĂ©e. Un matin j’entrai dans la salle de bains alors que belle-maman s’y trouvait, elle sortait de la douche et se sĂ©chait avec un linge, malheureusement, je ne pus pas voir ses seins, tellement j’Ă©tais Ă©mu, je sortis aussitĂ´t. Elle ne rĂ©ussit pas Ĺ• cacher une certaine gÄ™ne, mais aussi de la satisfaction, me sembla-t-il. Un autre jour, alors que je me brossais les dents, elle entra rapidement dans la salle de bains et me dit qu’elle Ă©tait en retard et devait prendre une douche. Elle se tourne, enlÄŤve sa chemise de nuit qui tombe au sol et entre dans la douche. Je ne la vois que de dos, mais j’ai l’occasion d’apprĂ©cier ses fesses, lĂ©gÄŤrement rebondies et son dos bronzĂ©.
Une aprÄŤs-midi, Sophie voulait aller voir une amie, que je n’apprĂ©ciais pas trop, je lui dis que je resterais Ĺ• la maison Ĺ• lire. Vers 14h00, Sophie s’en va et je monte dans sa chambre oĹŻ je lis. J’entends bientĂ´t ma belle-mÄŤre qui entre dans la salle de bains et fait couler un bain. AprÄŤs 15 minutes de lecture (pouvais-je vraiment lire ?), je me dĂ©cide Ĺ• aller Ĺ• la salle de bains, en espĂ©rant qu’elle n’ait pas fermĂ© la porte Ĺ• clĂ©. J’entre et en effet, la porte n’est pas fermĂ©e Ĺ• clĂ©. AprÄŤs deux pas, je fais l’Ă©tonnĂ© et m’excuse auprÄŤs de Nicole qui est au fonds de son bain, malheureusement la mousse cache ses formes, dont je ne vois que le dĂ©but des seins. Elle me dit de rester et faire ce que je voulais, elle dĂ©clare qu’elle n’est pas gÄ™nĂ©e. Je reste et je me brosse les dents. Puis je quitte la piÄŤce trÄŤs excitĂ©.
Quelques temps plus tard, mon amie Sophie devait partir pour trois jours Ĺ• l’universitĂ©, car elle voulait, avant la rentrĂ©e universitaire, travailler un sĂ©minaire avec deux autres amies. Nous en parlons au repas et nous disons Ĺ• Nicole que nous allons retourner Ĺ• l’universitĂ©, dans notre appartement d’Ă©tudiants. Nicole dĂ©clare qu’elle aurait voulu que nous l’aidions pour des travaux de jardin. Nous lui proposons de revenir la semaine suivante, puis Sophie dĂ©clare que je pourrais rester et aider sa maman, car elle-mÄ™me travaillera beaucoup avec ses amies. Nous acceptons.
Le lundi matin, Sophie s’en va. Je passe l’aprÄŤs-midi Ĺ• exĂ©cuter des travaux de jardin avec ma belle-maman. Elle est en face de moi et se penche, je vois ses seins pris dans un soutien-gorge. Je suis presque continuellement en Ă©rection, ce qui est parfois gÄ™nant, car je porte un short. Le soir, nous mangeons, nous regardons la tĂ©lĂ©vision, puis nous montons nous coucher. Je laisse ma porte ouverte, pour aĂ©rer et faire un courant. Je suis sur mon lit, en short, avec un T-shirt. J’entends Nicole qui entre dans la salle de bains, elle ressort, passe devant ma chambre, s’arrÄ™te sur la porte, me demande ce que je lis. Je la regarde, elle porte une chemise de nuit trÄŤs transparente, qui laisse deviner ses seins. Nous bavardons, elle vient prÄŤs de moi pour prendre mon livre et voir de quoi il s’agit. Elle s’assied Ĺ• mes cĂ´tĂ©s sur le bord du lit. Elle parcourt le livre. Je suis Ĺ• cĂ´tĂ© d’elle, je devine ses seins, j’entends dans mes tempes mon cour qui bondit, j’ai envie d’avancer ma main sur sa cuisse, j’ai envie de l’embrasser, mais je n’ose pas. Trop d’interdits nous sĂ©parent, je vis avec sa fille, elle est presque ma belle-maman. Elle lÄŤve les yeux, me regarde avec un regard langoureux, puis elle se lÄŤve et me quitte. Naturellement, je ne peux pas dormir, je me retourne dans mon lit. Je me lÄŤve vers minuit et je descends boire Ĺ• la cuisine. Nicole descends, elle ne dort pas non plus, elle me dit qu’il fait trop chaud. Nous bavardons, j’ai une Ă©rection trÄŤs visible, nous sommes appuyĂ©s contre la table, debout, la faible lumiÄŤre met sa peau bronzĂ©e encore plus en valeur. Soudain elle prend les deux verres, les pose sur l’Ă©vier et en passant devant moi, elle me donne une petite tape sur le short, elle touche ma bite en Ă©rection Ĺ• travers mon short. Mais Ĺ• peine ai-je rĂ©agi qu’elle est dĂ©jĹ• en train de monter les escaliers. Trop tard.
La journĂ©e suivante se passe comme la premiÄŤre, travail dans le jardin, repas, travail. Vers 17h00, extĂ©nuĂ©, je monte prendre un bain. Pendant que je suis dans l’eau, belle-maman entre dans la salle de bains. Elle se dĂ©shabille, je la vois de dos, entre dans la douche. Je reste dans mon bain. Elle sort de la douche, j’aperçois ses seins, elle se sÄŤche et entoure son corps de sa serviette de bain. Elle est trÄŤs jolie, avec ses cheveux mouillĂ©s et cette serviette qui serre son joli corps. Je sors du bain. Je me sÄŤche et je ne cache pas une forte Ă©rection. Je mets ma serviette autour de la taille. Pendant qu’elle se sÄŤche et se maquille, je me mets Ĺ• cĂ´tĂ© d’elle pour me peigner. Comme le miroir est trop petit, nous nous bousculons en rigolant, nous nous poussons de la taille, nous sourions. Soudain ma serviette tombe et laisse ma bite en Ă©rection. Nous nous arrÄ™tons, je regarde ma belle-maman, je n’arrive pas Ĺ• bouger et j’entends mon cour dans mes tempes. Soudain belle-maman s’exclame, « Oh, elle est jolie » ; elle me donne une petite tape sur le pĂ©nis, puis soudain elle le prend en main et commence un va-et-vient. Elle me regarde et me sourit. Je suis paralysĂ©. C’est alors qu’il me vient l’envie de la toucher, je pose ma main sur son Ă©paule et je commence Ĺ• descendre vers son sein couvert par la serviette, mais soudain elle s’arrÄ™te, elle me dit. arrÄ™tons-nous avant de faire une bÄ™tise et elle quitte la piÄŤce avant que je ne puisse rĂ©agir ou dire quelque chose. Je retourne dans ma chambre et je lis.

Elle m’appelle pour le repas du soir. Nous mangeons en Ă©changeant quelques banalitĂ©s, mais nous sommes tous les deux trÄŤs gÄ™nĂ©s. Nous regagnons nos chambres sans Ă©changer plus de trois mots. Je vais dans la salle de bains faire ma toilette, lorsque je ressors, torse nu et en short, belle-maman sort de sa chambre et vient prÄŤs de moi. Elle me dit qu’elle s’excuse pour ce qui s’est passĂ© dans la salle de bains et qu’il faut oublier. Je lui dis qu’elle ne doit pas s’excuser et que de mon cĂ´tĂ© je n’ai pas envie d’oublier, au contraire, j’ai envie de recommencer. Sans trop savoir ce je fais, je l’embrasse. Mes lÄŤvres sont sur ses lÄŤvres, ma langue cherche Ĺ• s’enfoncer dans sa bouche ; elle rĂ©siste, garde les lÄŤvres fermĂ©es, j’insiste, puis soudain sa bouche s’ouvre, nous Ă©changeons un fougueux baiser, je sens tout son corps qui se dĂ©tend. Nous recommençons plusieurs fois. Je l’embrasse dans le coup, j’enlÄŤve lentement les bretelles qui retiennent sa robe, qui tombe. Elle porte un soutien-gorge blanc, mes mains parcourent son corps, caressent ses seins Ĺ• travers le soutien-gorge, j’enlÄŤve gentiment le soutien-gorge, ses seins se libÄŤrent, je les caresse, je joue avec ma langue sur ses tĂ©tons ; de son cĂ´tĂ©, elle caresse mon torse, m’embrasse dans le cou, me lÄŤche les tĂ©tons. Elle baisse mon short, s’empare de ma bite, qu’elle caresse, commence un va et vient avec sa main. A mon tour, je lui enlÄŤve le slip, nous nous serrons l’un Ĺ• l’autre, nous nous embrassons. Elle se baisse, prends ma bite dans sa bouche tout en la tenant d’une main. Je suis dans un Ă©tat second, belle-maman est agenouillĂ©e devant moi, en train de tirer une pipe. Je lui caresse les cheveux. Lorsque je sens que je vais bientĂ´t Ă©jaculer, j’arrÄ™te Nicole, je la prends dans mes bras, nous nous embrassons. Ma main explore son intimitĂ©, j’enfile un doigt dans sa chatte, je le ressors pour m’arrÄ™ter sur son clitoris. Elle n’en peut plus. Elle prend ma bite dans une main et la guide vers sa chatte. Lentement j’entre en elle. Lorsque je suis au fonds, nous nous arrÄ™tons un instant, puis lentement, elle commence Ĺ• bouger, dans un lent va et vient. Elle jouit en premier, puis c’est mon tour. Nous sommes totalement Ă©puisĂ©s. Elle est appuyĂ©e contre le mur et moi je suis appuyĂ© sur elle. AprÄŤs quelques minutes, elle m’embrasse. Puis soudain elle se sĂ©pare de moi, prends ses affaires et elle retourne dans sa chambre.
Je me couche, mais je ne peux pas dormir. Soudain vers minuit, Nicole entre dans ma chambre, elle est vÄ™tue de sa chemise de nuit, elle vient vers moi, soulÄŤve le drap et se couche sur moi. Elle m’embrasse. Je passe mes mains sous sa chemise de nuit, je lui caresse les seins. Elle est maintenant assise sur moi, qui suis couchĂ© sur le dos. Elle enlÄŤve mon short, prends ma bite en main et elle la guide vers son intimitĂ©. Je coulisse lentement en elle, je sens quelle est dĂ©jĹ• toute mouillĂ©e. Elle commence un lent va et vient, assise sur moi qui la tient par la taille. Elle se penche, elle m’embrasse. Ces instants sont merveilleux et ils durent longtemps. Nous jouissons presque ensemble. Elle est sur moi, extĂ©nuĂ©e, dĂ©tendue, heureuse. Alors commence une folle nuit d’amour, je dĂ©couvre son corps, ma langue va de ses seins Ĺ• son clitoris. Nous jouissons plusieurs fois. Le matin, je me rĂ©veille seul dans mon lit.
La matinĂ©e s’est dĂ©roulĂ©e comme les autres. Nous Ă©vitons de parler de ce qui s’est passĂ©. AprÄŤs le repas Nicole se change et part en ville faire quelques courses. Elle rentre en fin d’aprÄŤs-midi. Dans sa robe, elle est trÄŤs sĂ©duisante. Je l’embrasse, elle est embarrassĂ©e. Mais trÄŤs vite elle se laisse allĂ©e. Elle m’emmÄŤne dans sa chambre. Pour moi, c’est un endroit magique, dans lequel je n’Ă©tais jamais entrĂ©. Le fait de m’emmener dans sa chambre, c’est comme si elle renonçait Ĺ• toute rĂ©sistance, malgrĂ© le fait qu’elle soit ma belle-mÄŤre. Nous sommes dans sa chambre, devant son lit. Nous nous embrassons. Je dĂ©fais sa robe, qui tombe, elle porte un soutien-gorge blanc et un slip blanc, ce qui m’excite beaucoup. Nous faisons l’amour lentement, j’adore caresser ses seins, l’embrasser, la pĂ©nĂ©trer. Je rĂ©alise alors un fantasme auquel je rÄ™vais depuis longtemps, je la prends en levrette. Je vois encore ses fesses et ses jambes, lĂ©gÄŤrement Ă©cartĂ©es, ce qui est trÄŤs excitant et ma bite qui s’avance lentement, puis l’entrĂ©e dans son sexe, guidĂ©e par sa main, puis la sensation extraordinaire ressentie lorsque je la pĂ©nÄŤtre. AprÄŤs un lĂ©ger temps d’arrÄ™t nous commençons un va-et-vient, merveilleux qui nous conduit au plaisir. Ensuite, nous descendons manger et nous remontons dans sa chambre pour faire l’amour. Sa peau est trÄŤs jolie, son corps de femme mure m’excite. Elle trouve en moi la jeunesse, l’amant de sa propre fille.
Le lendemain mon amie revient et notre rythme normal reprend. Nous rentrons Ĺ• l’UniversitĂ©. Durant les fÄ™tes de NoĂ«l nous retournons chez belle-maman. Une aprÄŤs-midi Sophie rend visite Ĺ• une amie, j’en profite pour rester seul avec belle-maman. Elle cÄŤde rapidement Ĺ• mes avances et nous passons toute l’aprÄŤs-midi au lit. Nous sommes Ĺ• peine habillĂ©s lorsque Sophie revient. Le soir, je fais l’amour avec Sophie, c’est excitant de faire l’amour la journĂ©e avec la mÄŤre et le soir avec la fille.
En fĂ©vrier, je dĂ©clare Ĺ• Sophie que je vais faire une semaine de ski avec un ami. En fait, je me rends chez belle-maman. Elle ne sait pas que je viens. J’arrive le lundi soir. Elle est seule chez elle. Je lui dis que je viens pour une semaine. Nous avons vĂ©cu ensemble une semaine, comme un couple, nous avons fait chaque jour l’amour. Ce fut inoubliable.
Je me réjouis de ma prochaine visite ŕ belle-maman. Je suis heureux. Paul